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"Aucune aide des forces armées russes n'était": "Auchan" a réagi à Bellingcat Investigation

L'entreprise a déclaré que le réseau de supermarchés uniquement «l'aide» à la population civile de la Russie, et qu'aucun frais de charité au profit de l'armée d'invasion n'a été organisé par le personnel de vente au détail d'Auchan. Le réseau de supermarché français d'Auchan a répondu à l'enquête de Bellingcat selon laquelle elle avait envoyé une assistance humanitaire aux forces armées de la Fédération de Russie.

Oui, dans une déclaration officielle, la société nie ces informations. "Auchan Retail nie catégoriquement les déclarations faites dans cette enquête et leur interprétation. Auchan Retail est très surpris par ces accusations, qui ne sont en aucun cas confirmées par la réalité d'enquête interne", a indiqué la société.

Le document stipule également que le réseau de supermarchés uniquement «l'aide» à la population civile de la Russie, et qu'aucun frais de charité n'a été organisé au profit de l'armée. Le commerce de détail Auchan a été enroulé qu'en mars 2022, la mairie de la ville de Saint-Pierre a rendu une ordonnance d'assistance à la population ", mais dans la liste des marchandises, personne ne pouvait être destiné aux militaires russes militaires.

De plus, la société nie le placement de "l'aide humanitaire pour le Donbass". La société a également déclaré qu'à Samara, le propriétaire du centre commercial de Kosmoport sur sa seule initiative avait créé un point de collecte dans le centre commercial, mais pas dans le supermarché Auchan. "Les équipes d'Auchan n'ont apporté aucune aide ni n'ont eu la possibilité d'interférer avec cette initiative", a indiqué le message.

Rappelons que les enquêteurs de Bellingcat, de l'initié et du Monde ont déclaré qu' "Auchan" avait fourni des marchandises des forces armées de la Fédération de Russie et aidé à mobiliser leurs employés. La gestion de l'entreprise, comme on dit dans l'enquête, la collecte et la transmission de données sur ses employés. Les subordonnés ont été délivrés sur les lieux de travail et proposés d'être libérés afin de ne pas être appelés à l'armée.