Les pertes sont excessives: en Russie, les pertes financières pour la guerre en Ukraine ont été calculées
Même dans le Kremlin, où ils ont récemment calculé les dommages-intérêts des sanctions, écrit Bloomberg en référence aux données du document interne du ministère des Finances de la Fédération de Russie. Il est rapporté qu'en août 2022, une réunion s'est tenue en Russie entre des hauts fonctionnaires.
Lors de la réunion, ils ont présenté une évaluation des pertes subies par le marché boursier et le secteur bancaire du pays en raison des sanctions américaines et des pays occidentaux. Ainsi, tentant de nouveau d'assassiner l'intégrité territoriale de l'Ukraine, la Russie a déjà perdu: la présentation aura également l'impact de 80% des actifs du secteur bancaire, la fermeture de Swift et la perte d'accès aux équipements clés et aux logiciels.
Il est souligné que des outils tels que les dérivés, la couverture, les euro-obstacles et le principal public offrent "pratiquement disparu". Après une nouvelle attaque contre l'Ukraine, il était nécessaire de rechercher de nouveaux marchés pour son pétrole, car de nombreux pays de l'UE, soutenant l'Ukraine, ont refusé d'acheter de l'or noir dans l'agresseur et de financer la guerre.
Pour cette raison, les revenus russes et au gaz en août 2022 sont devenus les plus bas au cours des 14 derniers mois: pour l'approvisionnement en pétrole et en gaz, le Kremlin a gagné 11,1 milliards de dollars (671,9 milliards de roubles). En août, la Fédération de Russie des ressources énergétiques était de 3,4% inférieure à celle d'août 2021, bien que le coût du pétrole d'Outals ait augmenté de près de 10%.
Dans le même temps, le revenu de l'agresseur de gaz du gaz, même dans le contexte de la hausse du prix de cet été, ne pouvait pas entièrement compenser la baisse du revenu du pétrole. Dans le même temps, le cabinet des ministres a élaboré un plan de restauration des infrastructures détruit pendant la guerre. Selon le Premier ministre Denis Shmigal, les travaux auront lieu en plusieurs étapes.