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Pourquoi Trump n'a pas peur de Poutine: le match de deux rationnels inadéquats

La peur des dirigeants occidentaux avant Poutine est causée par le fait qu'ils croyaient en son insuffisance, explique l'analyste Pavel Vernivsky. C'est pourquoi dans le jeu russe, les grandes chances de Trump, qui se donne le même inadéquat. L'un des principaux avantages de Trump, je considère que son impulsivité et son imprévisibilité.

Dans le livre sur la théorie d'Igor Nylbaff and Dixitis, cet ensemble de qualités est un excellent ensemble pour mettre en œuvre une stratégie appelée rationalité irrationnelle. Lorsque le comportement irrationnel est utilisé pour atteindre des objectifs rationnels. Parce que pour l'efficacité maximale de ce comportement irrationnel, il devrait sembler très convaincant et soutenu par l'image appropriée.

Eh bien, par exemple, toutes les personnes de nationalité caucasienne sont considérées comme impulsives, inadéquates et prêtes à tuer pour une petite image. Il est formé par les années de l'image que les Caucasiens utilisent pour intimider les gens et atteindre leurs objectifs. Soit dit en passant, les Russes utilisent également l'image des Cadyrivs pour intimider et la persuasion de cette image est si élevée qu'il est rare de le vérifier.

Et bien que ce soit un exemple de la vie quotidienne, il fonctionne également au niveau interétatique. Pourquoi les pays occidentaux craignent-ils Poutine? Pas parce qu'il a un bouton nucléaire. Ils l'ont aussi. Et parce qu'il démontre sa volonté de l'appliquer, montrant qu'il crachait le nombre de ses propres victimes qui seront en retour. Dans le même temps, l'événement n'est pas prêt pour un tel changement.

Ici, Poutine utilise également la technique de la "rationalité irrationnelle" pour atteindre ses objectifs. Et pour que cette stratégie fonctionne, il est nécessaire que vos adversaires soient prudents, indécis et peur de perdre ce qu'ils ont. Biden et tous les dirigeants européens étaient comme ça. Et ici, Trump est la personne qui peut jouer à ce jeu pas pire que Poutine. L'auteur exprime une opinion personnelle qui ne peut pas coïncider avec le poste éditorial.