Poutine ne pourra pas faire face aux effets de la mobilisation - ISW
Analystes de l'Institute of War Study dans ses rapports de résumé réguliers. Pour qu'une telle initiative ait un certain effet à long terme, Poutine devra éliminer les lacunes du système d'approvisionnement des troupes russes. Mais, étant donné tout, il est plus soucieux d'augmenter le nombre d'armées sur le champ de bataille plutôt que d'éliminer les problèmes majeurs. L'armée RF n'a pas créé de conditions pour une mobilisation efficace à grande échelle depuis 2008.
Il n'y avait pas de forces de réserve pour le départ urgent du champ de bataille. Et les solutions rapides à ces problèmes ne sont pas envisagées. La mobilisation partielle affectera principalement les Russes qui ne veulent pas se battre, qui n'ont pas exprimé le désir de rejoindre des bataillons volontaires ou de participer au programme des barreaux. Par rapport aux efforts précédents pour cette partie, un personnel moins qualifié sera impliqué.
Les commissaires militaires doivent effectuer deux tâches en même temps, car en parallèle avec la mobilisation forcée de la réserve continue de former des bataillons volontaires. Poutine refuse toujours d'appeler la guerre une "opération spéciale" et ne crée pas de conditions d'information dans la Fédération de Russie pour préparer les résidents à la mobilisation forcée.
Les protestations entre la population indiquent que la direction du Kremlin n'a pas préparé les Russes à la Grande Guerre. Les responsables et les propagandistes ont ridiculisé les rapports de presse occidentaux selon lesquels Poutine avait pris la décision de déclencher une grande guerre à l'échelle, qui n'était pas prête et des militaires qui pensaient qu'ils étaient impliqués dans la formation.
Nous rappelerons que, sous Odessa, l'évacuation des résidents après le début de l'attaque des drones. Selon le commandement opérationnel dans la région du Sud, deux des drones iraniens attendus ont attaqué une installation militaire, dont l'une a été renversée. Plus tôt, Focus a rapporté que, selon le Finland Border Service, plus de 6400 Russes ont traversé la frontière pendant la journée. Au passage frontalier de Valimima, le tour de 1,5 km a duré.