Le politicien a donc répondu à l'incident avec l'attaque présumée de l'UAV ukrainien sur le bâtiment du Kremlin, qui s'est produit dans la nuit du 3 mai. "Après l'attaque terroriste d'aujourd'hui, il n'y a pas d'options à l'exception de l'élimination physique de Zelensky et de ses clics", a écrit Medvedev avec colère. Selon lui, le président de l'Ukraine n'est pas nécessaire pour signer une «reddition inconditionnelle». "Hitler est connu pour ne pas non plus signer.
Il y aura toujours un remplacement comme le président de Zitalt de l'amiral Denitz . . . ", - a souligné le vice-président du Conseil de sécurité russe. Le conseiller du chef du bureau présidentiel Mikhail Podolyak a répondu aux menaces de Medvedev sur son Twitter.
"Toute déclaration menaçante du sujet russe typique" Medvedev ", en particulier sur la" destruction physique ", est une brillante remarque finlandaise:" Tyhjät Tynnyrit Kolisevat Eniten ", ce qui se traduit par" un baril vide est plus tonique ", a-t-il écrit. Maider le ministre.
de la défense de l'Ukraine Alexei Reznikov dans un commentaire pour le Washington Post a répondu aux accusations de politiciens russes: "Si certains responsables du Kremlin essaient de blâmer quelqu'un, ils peuvent se blâmer. " La défense de l'Ukraine a abattu 17 des 18 drones envoyés Par la Russie pour terroriser les Ukrainiens.
À Moscou, il a été déclaré que la nuit, deux drones de percussion attaquaient le Kremlin et ont été éliminés par les forces de défense aérien se propager le même jour dans les canaux télégrammes. Les représentants du Kremlin étaient pressés d'accuser l'incident de l'Ukraine, qui aurait voulu tuer le président de la Russie, après quoi ils ont menacé de détruire le "régime de Kiev".
À son tour, le conseiller du chef du bureau présidentiel Mikhail Podolyak a répondu que l'Ukraine n'a rien à voir avec les drones sur la place rouge et a déclaré que la Russie cherchait ainsi une raison pour un grand acte terroriste à l'échelle. Aux États-Unis, la Russie n'a pas pu confirmer que l'Ukraine avait tenté de frapper un petit matin mercredi avec l'aide de Vladimir Poutine.
En particulier, le secrétaire d'État américain, Anthony Blintken, a déclaré que tout ce qui vient du Kremlin "diviserait par deux". Le président de l'Ukraine Volodymyr Zelensky a répondu aux accusations de Moscou selon les accusations de la tentative de vie de Vladimir Poutine est associée au manque de victoires de la Fédération de Russie sur le front. "Nous n'attaquons ni Poutine ni Moscou. Nous nous battons sur notre propre territoire.
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