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L'électorat de la proputine a été divisé en

Le Kremlin a évalué les chances de Poutine lors des élections: "les patriotes déçus" sont considérés comme dangereux

L'électorat de la proputine a été divisé en "loyalistes", "patriotes", "socialistes" et "progressistes". Le vice-gouverneur est proposé pour convaincre les Russes que "les chevaux ne changent pas sur la traversée". Début avril, l'administration présidentielle de la Fédération de Russie a organisé un séminaire pour le vice-gouverneur dédié aux élections futures. Verkhatka a pu accéder aux matériaux qui ont été remis aux responsables du pays d'agresseur lors de la réunion.

Les documents ont cité une enquête fermée auprès des Russes, qui se traduit par la candidature de Vladimir Poutine prête à soutenir 53% des Russes. Les votes de 25% des citoyens russes, selon les statistiques, dépendront de la liste des candidats, 8% supplémentaires ne sont pas prêts à soutenir Poutine en aucun cas. 8% des Russes ne prévoient pas du tout d'aller aux urnes, et 1% des répondants ont l'intention de gâcher le bulletin de vote.

Selon les journalistes, les responsables russes sont proposés de "motiver les gens à voter pour le président". Pour ce faire, le Kremlin a déjà pensé aux arguments: il n'y a pas d'alternatives et «les chevaux sur la traversée ne changent pas». Ces thèses doivent être utilisées dans l'agitation, signalées aux médias. La base électorale de Poutine a été divisée en quatre groupes, qui a été estimé par 84% de tous les électeurs.

Les groupes ont été nommés: "loyalistes", "patriotes", "socialistes" et "progressent". Le cinquième groupe, qui n'est pas considéré comme des partisans potentiels de Poutine, s'appelait "Occidentaux". Ils sont unis par l'accent sur la création d'un "pays démocratique axé sur les valeurs européennes libérales". Les "Occidentaux" du Kremlin ont été présentés comme une menace potentielle pour les élections, à l'exception d'eux "des patriotes déçus".

Les Russes du dernier groupe sont des personnes qui considèrent la politique de Poutine trop douce. Nous rappelerons, le 6 avril, les journalistes ont signalé les plaintes de Vladimir Poutine sur les dommages causés. Il a souligné dans une conversation avec le chef de l'administration de l'occupation de Donetsk Denis Pushilin la nécessité de "pousser les forces ukrainiennes". Le 6 avril également, une réunion de Vladimir Poutine avec Alexander Lukashenko a eu lieu.