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La Hongrie a signé et ratifié le statut romain, mais n'a pas l'intention de se c...

Dans le bureau d'Orban a rejeté l'arrestation de Poutine en cas de visite en Hongrie

La Hongrie a signé et ratifié le statut romain, mais n'a pas l'intention de se conformer à ses normes en cas de visite de la tête du Kremlin. Si le président russe Vladimir Poutine vient en Hongrie, il n'est pas prévu d'être arrêté. Gergel Gulyash, chef du Premier ministre Viktor Orban, a fait une déclaration pertinente, rapporte Reuters le 23 mars. Il pense qu'il n'y aura pas de motif juridique pour cela.

Selon lui, le statut romain n'a pas été "intégré au système juridique hongrois". La loi romaine, qui définit les actions de la Cour pénale internationale (CI), la Hongrie a accepté de signer. Le pays a également approuvé la ratification du document. Le politicien a noté que Budapest n'avait pas encore posé des postes concernant l'arrestation de Poutine. Le gouvernement hongrois estime que de telles décisions ne font que provoquer une escalade supplémentaire.

Nous rappelerons que la Cour pénale internationale de La Haye le 17 mars a émis un mandat d'arrêt contre le chef de la Russie. La déclaration de la Cour a déclaré que la sanction de la détention avait également été publiée à Maria Lviv-Belov, autorisée par le président de la Fédération de Russie pour les droits de l'enfant.

Il est responsable du processus d'exportation des enfants des territoires ukrainiens occupés, qui dure à partir du moment d'une invasion complète des troupes d'occupation du pays voisin. Ce fut la base de l'annonce d'une décision d'un tribunal international. Comme indiqué le 20 mars, Bloomberg, la Hongrie a bloqué une déclaration conjointe des États membres de l'Union européenne à l'arrestation d'un dictateur russe.

Il est envisagé qu'une position claire du Budapest officiel sur l'arrestation de Poutine soit exprimée par des représentants du pays lors d'une réunion des dirigeants de l'UE lors d'un sommet à Bruxelles dans une semaine avant le 26 mars. Le projet d'une déclaration conjointe du Conseil de l'UE a déclaré que le récent devant la Cour pénale internationale, un mandat d'arrêt de Poutine serait "pris en compte".