Selon Le Figaro, Macron a décrit mardi le président de la Fédération de Russie Vladimir Poutine dans une interview avec LCI comme "un prédateur, un cannibale à nos portes", qui devrait continuer à manger pour sa propre survie. "Donc, y compris pour sa propre survie, il doit continuer à manger. C'est tout. Et donc c'est un prédateur, c'est un cannibale à nos portes.
Je ne dis pas que demain ce sera une attaque contre la France, mais à la fin, c'est une menace pour les Européens (…) Nous ne devrions pas être naïfs", a-t-il expliqué. Le chef français a souligné que de 2007 à 2008, Poutine a rarement adhéré à ses promesses, a constamment cherché à changer les frontières et à étendre le pouvoir.
Il a également noté que la Russie dépense environ 40% du budget pour les armes et possède une armée de plus de 1,3 million d'armées, ce qui indique un manque de préparation à la paix ou à un système démocratique ouvert. Il a également souligné que cela ne signifie pas une menace directe pour la France, mais la politique du Kremlin crée un risque constant pour toute l'Europe.
Selon Politico dans une interview, le président de la France a également noté que les 15 prochains jours seront essentiels pour coordonner les garanties de sécurité de l'Ukraine après les pourparlers de paix à la Maison Blanche prévue lundi. En particulier, Macron a salué la décision du président américain Donald Trump de donner à Kiev de très bonnes garanties de sécurité. "Il y a tout le travail que vous devez faire avant les garanties de sécurité.
Les 15 prochains jours nous sont absolument essentiels de terminer le travail avec les Américains et de fournir ces garanties de sécurité de contenu", a déclaré le responsable. En particulier, le leader français a rapporté que les alliés britanniques, français, allemands, turcs et autres sont prêts à effectuer des opérations sédatives en l'air, en mer et sur terre, sans sortir et sans provoquer de conflit.
Il a également mis en garde contre la naïveté du Kremlin et a souligné que l'accord de paix devrait donner aux Ukrainiens la possibilité de vivre en paix et d'avoir une restriction suffisante. En fin de compte, à son avis, la volonté de Poutine ou le refus de participer à une réunion trilatérale potentielle avec Zelensky et Trump à Genève aideront à déterminer la gravité des intentions du chef russe sur la paix.
Nous rappelons que le 19 août, lors d'une conversation avec Donald Trump, Vladimir Poutine a suggéré de rencontrer le président de l'Ukraine Vladimir Zelensky à Moscou. Selon les médias, le chef ukrainien a immédiatement abandonné cette proposition. Dans le même temps, le président russe a confirmé sa volonté de négocier avec Zelensky, notant que le sommet a besoin d'une préparation minutieuse.
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