"L'administration locale de l'occupation a utilisé cette situation pour effectuer des mesures de filtration supplémentaires dans la ville", indique le communiqué. Ainsi, selon le SNC, plus de 300 personnes ont été expulsées de la zone de bombardement. Par la suite, dans leurs maisons, les envahisseurs ont effectué des perquisitions en l'absence de résidents.
Selon les coordinateurs du métro, les gens ont été conservés à des points temporaires, où ils ont également vérifié leurs données, leurs téléphones et la disponibilité d'un passeport de la Fédération de Russie. Le SNC a noté qu'en conséquence, les Russes ont détenu un certain nombre de personnes soupçonnées de "déloyauté". Le 8 janvier, le Russian Aviation Fab-250 est tombé le 8 janvier. Selon le chef de la Leonid Pasichnyk, "lnr" So, il y avait une munition ininterrompue.
Il a indiqué qu'il n'y avait pas de victimes des victimes de l'airbag. En raison du danger de l'explosion de la bombe, certains habitants ont été envoyés aux tentes à proximité, certaines personnes ont déménagé chez des parents. Selon le chef du Lugansk Ova Artem Lisogor, les envahisseurs n'ont pas pu cacher l'incident en raison d'un grand nombre de témoins.
Le quart sur lequel la bombe a chuté était l'un des rares à être restés entiers après l'assaut des envahisseurs au printemps 2022. Il a également signalé que la chute de l'airbag avait été blessée. Certaines personnes ont été hospitalisées et certaines ont été transportées à un point de séjour temporaire.
Nous rappelerons, le 10 janvier au Center for National Resistance, les militants de "cyber-résistance" ont eu accès à un large éventail de données sur le "système punitif" du "LNR" si appelé. En particulier, ils ont appris les prisonniers des "étrangers", les crimes de l'armée russe et les noms des collaborateurs. Le 5 janvier, le National Resistance Center a rapporté que l'armée russe avait décidé d'augmenter la propagande dans des territoires temporairement capturés.
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