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Selon les observateurs, l'option la plus prometteuse est les attaques avec des d...

Des photos de plateformes de déclenchement de la Fédération de Russie sont apparues sur le réseau: les observateurs ont remarqué une nuance importante

Selon les observateurs, l'option la plus prometteuse est les attaques avec des drones, mais il y a aussi des difficultés: la Fédération de Russie masque ces objets parmi les infrastructures civiles, suivant les tactiques des organisations terroristes telles que le Hamas et le Hezbolla. La première image détaillée de la position de départ du Russe Dron-Kamikadze Shahd-136/131 a été affichée sur le réseau.

Cette photo a une valeur particulière car elle vous permet de considérer plus en détail comment les sites organisés pour démarrer ces drones, et explique pourquoi il est difficile de les détruire au stade de départ. À ce sujet écrit Defense Express. Selon les observateurs, l'une des raisons pour lesquelles le drone est difficile à éliminer au début est le compact Shahed-136/131.

Le lancement est effectué à partir d'un trépied monté sur une petite plaque en béton, comparable à la taille du drone, qui a une envergure d'environ 2 mètres et la longueur du fuselage de 3 mètres. Ces tailles relativement petites en font des objectifs lourds pour les armes à haute provision.

De plus, on peut supposer que les drones arrivent à la position de départ avec les unités de combat déjà remplies et équipées, ce qui réduit la probabilité de destruction en raison de la détonation du carburant ou des munitions au point de lancement. Cela signifie que les troupes russes peuvent minimiser les risques de dommage à leurs objets lorsqu'ils sont touchés sur le sol de départ.

Il est important de noter que ces sites de départ sont souvent situés à environ 200 kilomètres de la frontière ukrainienne, ce qui crée des difficultés supplémentaires pour leurs dommages. En conséquence, l'attaque des entrepôts avec des drones est une option plus prometteuse, mais il y a des difficultés ici: la Russie masque ces objets parmi les infrastructures civiles, imitant les tactiques des organisations terroristes telles que le Hamas et le Hezbolla.