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Selon les journalistes russes, jusqu'à 72% des résidents ne veulent pas changer ...

En Russie, les autorités allaient renommer le Volgograd à Stalingrad: résidents contre - Roszma

Selon les journalistes russes, jusqu'à 72% des résidents ne veulent pas changer le nom de leur ville. Afin d'assurer le consentement du peuple, la pensée régionale a décidé de tenir un «référendum» parmi les habitants de la région, dont la population dépasse 2,5 fois le nombre de résidents de la ville. Les autorités de la région de Volgograd en Russie ont proposé l'idée de renommer la ville de Volgograd à Stalingrad, malgré la résistance de ses habitants.

Selon l'édition russe de Kommersant, les responsables locaux ont commencé à mettre en œuvre un plan "rusé", bien que la décision finale n'ait pas encore été prise. Ainsi, le gouverneur de la région de Volgograd Andriy Bocharov fait la promotion du nom de la ville depuis plus d'un an, et maintenant il est devenu possible.

La Douma régionale a modifié la loi sur le système administratif-territorial concernant le processus de changement de nom par le biais d'un référendum régional afin de "revenir aux établissements individuels des noms, largement connus dans le passé et le présent". Le conférencier régional Alexander Bloshkin est considéré comme le principal partisan du renommage, mais la plupart des citadins se sont prononcés contre cette idée.

Selon la publication, de 66% à 72% des résidents ne veulent pas renommer Volgograd à Stalingrad. Pour contourner ce problème, il a été proposé de contenir un "référendum" dans toute la région, dont la population dépasse 2,5 fois dépassant le nombre de résidents de Volgograd. Les experts estiment que l'implication de toute la population de la région dans la question du renommage aidera à fournir le résultat souhaité.

"Ils comptent sur l'activation des électeurs indifférents dans les villes de la région. Alors que les résidents de Volgograd montrent généralement moins d'intérêt pour de telles mesures", explique le politologue Alexander Saigin. Cependant, l'expert met en garde contre une réponse possible sous la forme de "mobilisation protectrice" des citoyens qui font activement faire campagne et prêt à contrôler le comptage des votes.